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Recherche par lecteur : Paul-André Rousseil

68 résultats. Page 4 sur 4.

Durée : 5h. 47min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 13718
Résumé:A la naissance, le bébé ne fait qu'un avec sa mère. C'est le temps de la fusion, indispensable, où il puise assurance et force. Cependant, il faut grandir et, pour cela, prendre de la distance, afin de gagner de nouveaux territoires d'autonomie et de liberté. Tout le développement psychomoteur de l'enfant, toute vie humaine apparaissent comme une suite d'attachements et de détachements, de conquêtes et de séparations. Mais peut-on se séparer sans peine ? Pourquoi la séparation fait-elle naître en nous un sentiment d'abandon ? Qu'est-ce que le travail de deuil, et est-il jamais terminé ? A quoi servent les souvenirs ? Sommes-nous vraiment nostalgiques de la fusion première avec notre mère ? Le Pr Marcel Rufo répond ici avec la chaleur et l'humanité qu'on lui connaît, et une grande empathie pour nos fragilités, nous tendant ainsi un miroir où chacun retrouvera ses interrogations, ses doutes, ses appréhensions face à la séparation. Avec, en filigrane, ce constat : on ne peut pas vivre sans lien mais, dès lors qu'il devient trop exclusif, ce lien menace de nous étouffer. Il faut donc pouvoir le desserrer, se détacher, afin de trouver la juste proximité entre les autres et soi.
Durée : 8h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13495
Résumé:Vite plus vite ? c'est le leitmotiv de Pierre Nioxe. Attendre le torture, dormir lui paraît du gâchis. Pour gagner une seconde, il se démène comme un diable. Et qu'en fait-il ? Rien : il est déjà reparti pour en gagner une autre. A ce jeu, quand on est antiquaire, on risque de perdre de l'argent. Il en a perdu. Qu'importe. On perd aussi des amis. Tant pis. Cet homme pressé freine pourtant sa hâte le temps de se prendre au charme créole d'Hedwige de Boisrosé. Le mariage va-t-il le calmer ? Oui, jusqu'au jour où s'annonce un enfant. Garçon, fille ? Il veut savoir, et tout de suite. Harcelée, exaspérée, Hedwige le chasse. Quel aura été le bilan de l'existence de cet homme aux aboi ? Zéro. Constat ironique sur lequel s'achève cette satire menée à bride abattue, où Paul Morand raille la folle dévotion au nouveau dieu du XXe siècle, la Vitesse. Nous sommes à l'âge de l'infarctus et le héros de Morand en fut la première victime littéraire.
Durée : 2h. 4min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13535
Résumé:Entre burlesque et grotesque, une farce modernement irréaliste. Un chauffeur de taxi sous l'effet de la colère et d'un mystérieux fortifiant voit parfois ses forces se décupler: c'est un "champion à éclipses" (J. Meunier). Il a un seul but dans la vie, une idée fixe: retrouver Valentina et regagner le coeur de cet amour de jeunesse. L'histoire d'un héros brave et maladroit que veut "se réapproprier son histoire par effraction" (J. Meunier).
Durée : 16h. 15min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 13466
Résumé:Détruire la bibliothèque est un geste qui remonte à la plus haute Antiquité. Apparus en même temps que l'accumulation de livres, les autodafés semblent se multiplier : plus il y a de livres, plus leur rassemblement attire l'hostilité, spontanée ou organisée. Considérée comme subversive ou au contraire comme le symbole du pouvoir absolu, la bibliothèque est au centre des crises et des conflits. Bien souvent, elle n'y survit pas. Depuis la Chine des Qing jusqu'aux catastrophes contemporaines, ce livre retrace l'histoire des grandes destructions de bibliothèques, déployant une singulière érudition sur ce terrain encore peu exploré. Et si les grands malheurs vécus par les bibliothèques étaient pourtant moindres que les nouveaux dangers ? Attaque en règle contre le support papier, convoitises pharaoniques sur l'information numérisée...le rêve de la bibliothèque totale est-il en train de tourner au cauchemar entrevu par Bradbury, Huxley ou Orwell ?
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12541
Résumé:Pour quelles raisons se détache-t-on de sa langue maternelle ? Parce qu'on ne l'habite plus depuis longtemps ? Parce qu'elle-même a cessé de vous visiter, de fréquenter vos rêves, de jaillir à l'improviste dans vos conversations ? Ou bien comme on quitte un conjoint, des amis, son passé, pour se fabriquer un autre destin - peut-être aussi dans l'espoir de ramener sa propre existence vers une sorte de commencement. A ces questions, Milan Kundera répond par le geste radical qui consiste à écrire en français...
Durée : 13h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12550
Résumé:Une petite ville de l'Ouest canadien repliée sur ses rancoeurs, ses jalousies et ses intolérances. C'est là que Michael a passé son enfance C'est là que, sorti de prison, il devra tenter de redonner sens à son passé s'il veut s'affranchir tout à fait de la folie. Rejeté par les hommes, il croisera le destin d'un gerfaut traqué par un braconnier qui espère, en le tuant, se racheter aux yeux de sa femme. De ce duel contre ce porteur de mort, Michael sortira vainqueur en sauvant l'oiseau, mais aussi en amenant une jeune femme et son fils traumatisés par un deuil à accepter que la vie reprenne son cours. Le faucon repartira vers les neiges de la rédemption et de l'apaisement. (Dominique Rinaudo)
Durée : 3h. 9min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 12377
Résumé:Ce livre rassemble divers textes (publiés dans 24 Heures et L'Hebdo notamment, de 1979 à 2002) en rapport avec l'âme du peuple vaudois. Réflexions sur l'urbanisme et les fontaines à Lausanne
Durée : 4h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 947
Résumé:C'est la seule femme dans cette salle dont la chevelure ne soit pas coupée sur la nuque... L'odeur secrète du dancing, comme celle de l'année 1919, est encore l'odeur doucereuse et fade du sang. Nelly est belle, d'une beauté nettement parisienne. C'est vraiment une fille de la rue élevée au grand pouvoir. La bouche est une bouche pâle de la rue, et les yeux, durs et gris, ont pris leur éclat définitif dans un autre décor que celui-là.